LES PRIX DE L’IMMOBILIER NEUF CESSENT DE GRIMPER
Les prix de l’immobilier neuf ont enfin stoppé leur course effrénée. Même si la pierre continue de s’apprécier en 2018, ce phénomène est plus mesuré que l’année précédente.
Tandis que Nantes figure dans le Top 3 des métropoles provinciales dont les prix ont le plus augmenté sur les cinq dernières années (+ 11,1 %), ces prix ne devraient s’accroître que de 0,4 % d’ici décembre 2018.
Malgré tout, qu’ils soient locaux ou originaires d’Île-de-France, les acheteurs répondent toujours présent. Il faut bien admettre que les rangs des acheteurs sont toujours aussi fournis.
Non seulement les Nantais cherchent à se loger, mais l’afflux de Parisiens en quête d’une qualité de vie supérieure garantit un haut volume de transactions. Dans le cas des Parisiens, les prix de l’immobilier restent toujours moins élevés que ceux qui sont pratiqués dans la capitale.
LES BIENS PRÉSENTÉS AU PRIX DU MARCHÉ SE VENDENT COMME DES PETITS PAINS
Au jour de l’écriture de cet article, les biens sans défaut qui sont présentés au prix du marché partent dans la journée, et ce sans négociation préalable. Ainsi, dans le quartier Graslin, une villa de 145 mètres carrés de haut standing se vend en moyenne 500 000 €, et part dans la journée.
Les secteurs de Graslin, Canclaux, Méllinet, Chantenay et Zola sont d’ailleurs très prisés par les primo-accédants. Mais pour acheter un bien neuf moins cher, il faudra nécessairement s’éloigner de ces secteurs de grande notoriété.